Quand on a rien, on a rien à perdre

❀ BAILEY
DAVENPORT
starring aaron johnson

© tumblr

❀Quand on a rien, on a rien à perdre.ˮ

♠ NOM Davenport, je vous l'accorde, c'est un nom américain, ca remonte à mon grand-père paternel, et ma mère ne voulais ni changer de nom de famille, ni que j'ai celui de mon père. PRÉNOM(S) Bailey, comme mon père, bien qu'avant sa mort ce soit BJ (Bailey Junior) ♠ ÂGE 26 ans ♠ DATE DE NAISSANCE 2 Avril 1985 ♠ LIEU DE NAISSANCE Dans la célèbre ville de Londres, au Royaume-Uni, puis après ma naissance, ma mère et moi sommes parties pour la Hollande, où se trouvait mon père. ♠ EMPLOI/ÉTUDES Flic de terrain ♠ STATUT SOCIAL Marié ♠ GROUPE Please Rewind

❀Toute ma vie, j'ai joué la comédieˮ

La vie c'est comme une boîte de chocolat, on ne sait jamais sur quoi on va tomber. C'était dans quoi déjà, Forrest Gump ? Dans tout les cas, c'est bien la verité, la vie est faite de surprises, de choix, de compromis, de pertes, de joies, de réussites. Un tempo comprennant une tonne d'accents, qu'on ne peux même plus compter. Les premières fois, les meilleurs fois, les pires et les dernières. De ma naissance jusqu'à aujourd'hui, j'ai suivi ce que mes parents voulaient pour moi, un diplome, un bon travail mais pas trop, et bien entendu une femme, jolie pour moi mais pas trop pour les autres hommes et qui serait être là pour moi. L'heureuse élue se nomme Eloïsa, elle est brune, avec un regard d'ange, une timidité attirante et un superbe sourire. Malgré tout ça, je crains de regretter de m'être marié, c'est dur, dur d'aimer une femme qui était avant ta seule amie, cette fille d'une beauté à en mourrir, d'un caractère à en avoir peur, d'une douceur et d'une sensibilité qu'elle cache, de ces yeux brillants de mille étoiles, du prénom de Rachael, une femme aujourd'hui parti, qui a du faire sa vie, et ne plus penser à moi. Ma raison me dit d'arrêter de penser à elle, mais mon coeur en veut autrement. Je n'ai jamais vraiment aimé à part elle, j'ai toujours été un coureur de jupon, un homme à femme qui aimait draguer avec toute les filles et qui n'avais comme but que de sortir un nombre précis et gros de filles. Et puis quand je l'ai connu, j'ai changé, elle m'a changé. Je me suis adouci, jusqu'à ne plus sortir avec personne. Flic de terrain, ce n'est pas le courage ni la force qu'il me manque, je reste à coté de mon travail un peintre, j'exprime en tableau ce que je ressens au fond de moi. Je n'exprime pas souvent ce que je ressens, il y a juste ma colère que je ne peux pas contrôler. Je n'aime pas attendre, mais je n'ai souvent pas le choix. Je suis fidèl, en quelque sorte. Je vis ma vie au jour le jour, je la prends comme elle vient. Je n'aime pas contrôlé, j'ai juste envie de faire ce que je veux, de dire ce que je veux dire à un moment précis. J'aime le risque, après tout la vie est courte, c'est donc pour ça que je suis devenu flic, mais sur le terrain. Le danger c'est de l'exitation, de la surprise, de l'adrenaline. Mon père est hollandais, ma mère americaine mais vivait depuis ses douze ans à Londres. J'ai donc herité d'un nom americain, ce qui ne pas inaperçu ici. J'ai vingt-six ans le deux avril, j'ai les couleurs vives mais en porte rarement, je préfère les chats aux chiens, j'aime tout ce qui est trop gras ou trop sucré.

❀Mes amis, mes amours, mes emmerdesˮ

Avril 1985. Londres, 8h43 du soir. Il Fait froid, mais pas trop, chaud mais pas trop. Un leger vent, un ciel noir, des étoiles brillent dans le ciel. L'hopital de la capitale Anglaise est plongé sous le silence. Les patients dorment, les docteurs attendent, inquiets mais malheuresement habitués. Mais que se passe t-il ? En quelques mots, un camion, au volant un homme saoul qui fermait les yeux, les réouvrait, puis il tomba dans les bras de Morphée. Il bloqua toute l'autoroute, les voitures eurent à peine le temps de remarquer que le chauffeur était endormi, parmis elles, une voiture grise banale, avec au volant une femme, mais une femme enceinte. Ce que les docteurs attendent, c'est les blessés de l'accident, un peu près un quinzaine de personne. Le silence laisse place aux bruits des ambulances, de la lumière rouge, elles s'arrêtent et ouvrent leurs portes sur de pauvres victime. Le Dr Johandt, brillant chirurgien specialisé dans le trauma, saute sur le brancard qui sort de la camionette. Il l'emmene à l'interieur, dessus la femme enceinte qui pleure, non de douleur bien que celle-ci soit là, mais elle pleure par peur de perdre son enfant. Elle était voué à ne pas avoir d'enfant, mais un jour, un miracle ; elle était enceinte. Alors pour ne rien au monde elle ne voudrait que d'avoir décidé de rentrer plus tard de chez son frère ce soir là détruise l'unique chance qu'elle soit une vraie mère.
Une heure plus tard, son fiancé et prévenu, il vit loin d'elle -en Hollande- et ne pourrait supporter qu'il perde son enfant et peut-être la femme de sa vie. Il prend sa veste et son argent et court à l'aeroport prendre le prochain avion pouir Londres, celui-ci vient dans deux heures. Il s'assoit, sachant bien qu'il ne sera peut-être pas près de sa femme poiur son réveil. Il attend, patiement, il essaie de ne pas craquer, ne pas se laisser aller, d'être fort pour son avenir. Deux heures plus tard, l'avion arrive, il s'assoit rapidement à l'interieur, attendant le moment où il atterira dans la ville de sa femme. Pourvu que le temps passe vite, pourvu qu'il arrive à temps, pourvu que personne ne meurt pendant ce temps. Un voisin charmant essaye de sympatiser, mais il n'a pas l'humeur pour ça. Il regarde par la fenêtre, c'est comme si le temps ne passait pas, qu'il s'était arrêté pour encore plus le faire souffrir. Alors une fois encore, il attend, toujours et encore.
A l'hopital, une femme dort paisiblement dans un lit, avec une cicatrice au ventre et à plusieurs autres endroits. Elle vient de se faire operer, elle est encore inconsciente à cause de la piqure. A coté d'elle, un homme, brun, épuisé avec une veste sur ses épaules, tenant la main de sa femme. Il dort lui aussi, mais bien, il est soulagé. Toute son inquietude est partie, elle a disparu en rentrant dans la chambre 320 après deux heures de vol d'avion pour la capitale. Et de l'autre coté de la femme d'une trentaine d'année, un bébé, dans un couveuse. Un garçon, un magnifique petit garçon, qui a déjà vécu beaucoup rien qu'à sa naissance. Que la vie résèrve t-elle à cette famille ? Paisible, heureuse, joyeuse, triste, malheureuse, pleine de surprise ? On ne peut qu'espèrer le meilleur pour eux, sachant bien qu'aucune fait est entièrement rose. Pourvu que la leur soit plus belle, plus belle que cette naissance assez horrible et inquietante

❀Cache-cacheˮ

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