Une matinée habituelle

Certaine personne disent que la famille c’est sacré, d’autre dise qu’on peux compter sur personne, mais uniquement sur sa famille, ou encore il y a rien de plus précieux que sa propre famille. Ont dit que l’amour entre frère est obligatoire, l’entente est évidente, certes ça se passe comme tel dans la plupart des familles, mais n’oublions tout de même pas que malgré avoir un lien de fraternité nous sommes des êtres humains et tout êtres humains ne peux pas aimer tout ceux qui l’entoure et ça concerne également les frères et sœurs. Quand on est petit en général on s’entend très bien avec tout le monde c’est bien connu, on est ami avec tout le monde et très complice avec les autres enfants de la famille, puis arrive le moment ou l’ont grandis et là tout change ! Comment des membres de la même famille ne peuvent pas être proches, et comment font-il pour laisser de la place à la haine ? Dans ma famille à moi je suis celui qui transporte la haine avec lui et je la jette sur les autres membres de ma famille. Je ne partage pas un grand attachement avec mes frères et particulièrement pas avec un qui m’exaspère et que je ne supporte pas. La cause de tout ça ? Ma mère étant morte à ma naissance me rendant coupable. Bien sûr on me répète sans arrêt que non ce n’est pas ma faute, mais borné comme je suis je n’écoute personne. Valentijn c’est passé de me persuadé que non, la seul chose qu’il me dit ce sont des remarques sur ma vie et ma façon de vivre et je sais très bien que ça seul envie c’est de me mettre à la porte du domicile familiale, il en meurt d’envie !

Allonger dans mon lit tel le serai un mort dans son cercueil, je regardais le plafond de ma nouvelle chambre qui avant d’être une chambre servais de débarrât, à qui la faute de ma présence ici ? Mes frères bien sûr ayant jugé que vu ma chambre était la plus grande bah que j’allais la cédé à la demoiselle qui a emménager chez nous qui est juste la fille de la nouvelle copine à mon père, qui est donc objectivement ma demi-sœur, mais croyez-moi je la déteste et je ne la considère pas comme tel et puis encore quoi ?! Ma chambre était légèrement éclairé par les rayons de soleil qui pénétrais dans le débarrât, enfin dans la chambre à travers les volets qui était légèrement ouverts. J’entends des bruits de pas provenant de l’étage d’au-dessus et j’entends un léger son de la télé qui provenais surement du salon, d’un effort puissant je me levai et alluma la radio à fond afin de bien embêter mon frère Valentijn qui devais être entrain de dormir vu l’heure. « J’en connais un qui va adoré … » murmurais-je tout en me regardant dans le miroirs qui se trouvais face à mon lit et m’observai tout en souriant fière de moi, je passai une mai dans mes cheveux tout en tournant les talons vers la porte et sortie de ma chambre pour ensuite longer les longs couloirs jusqu’à la cuisine ou j’attrapai une brique de lait dans le frigo et ou je me fis un plaisirs de boire à la bouteille tout en savourant la musique qui résonnais dans tout le domicile familiale et c’est alors que je vis mon cher frère descendre les escaliers pas spécialement enchanter, je déposa alors la brique sur le buffet et le regarda tout en souriant tel un enfant fière de sa connerie. «Bah dis donc, il est pas un peu tôt pour que tu sois déjà levé ? » dis-je tout en avançant vers lui en prenant soin de récupéré la brique de lait que je comptais bien boire jusqu’à la dernière gouttes. «Ah et vu que t’a tendance à prendre du lait pour ton petit déjeuner hum … y’en a plus tu m’en vois navré »

Réveil en sursaut. Me frappant le front du plat de la main, je me remis les idées claires en me retenant pour ne pas sortir avec le katana qu’une journaliste allumée m’avait offert pour mon anniversaire, il y avait de cela quelques années. Je réfléchis un instant à qui pourrait avoir fichu de la musique à un volume pareil : de ma chambre, j’entendais Greg ronfler, sans doute qu’il s’était endormi devant la télévision. Nelleke était bien trop respectueuse pour jouer à ça. Et, comme toujours, cela retomba sur Andreas. Finalement, j’allais peut-être prendre le katana. Il avait de la chance qu’ils passent Thank God it’s Christmas, de Queen. Cette chanson effaça ma première résolution, qui était de le foutre dehors. J’étais trop bon. Enfin, je n’avais pas envie de me disputer avec mon père parce que j’aurais laissé mon petit frère chéri sans ressource. Je descendis les escaliers en caleçon, oubliant complètement qu’on avait une fille à la maison à présent. C’était contraignant, parfois. A environ la moitié des marches, je m’arrêtai et respirai profondément. Technique de yoga. Il s’agissait de ne pas commettre de meurtre. Arrivant dans la cuisine, je tombai nez à nez avec le frangin. Je devais avoir une tête de déterré, et c’était la même chose pour lui, à la différence près que lui, il était constamment dans cet état, c’en devenait curieux. Mon petit frère est un zombie. Cool. Mon petit frère est également un parfait sale… Je ne vais pas le dire. Il était très content de lui, ce qui ne m’étonnait absolument pas venant de sa part. Il savait pertinemment que j’avais le sommeil léger et qu’au moindre bruit soudain, j’étais levé. Et j’étais incapable de me rendormir après. Je tirai la gueule l’espace d’une seconde, avant de reprendre mon éternel sourire. « Je te remercie. Ça faisait longtemps qu’on ne m’avait pas réveillé tout en douceur. » fis-je, le plus candidement du monde.

J’essayais continuellement tant bien que mal de ne pas entrer dans ses jeux de gamins. Mais il n’était pas rare qu’il parvienne à m’énerver malgré tout. Je savais juste que les sarcasmes me permettaient de me contrôler un peu, surtout que Greg endormi, il n’y avait personne pour nous séparer en cas de bagarre. Et dieu sait que l’on était tous deux excellents dans ce domaine. Je le fixai d’un œil las, me demandant s’il pensait vraiment que je péterais un câble à cause d’une boîte de lait. Sans un mot, j’allai dans la cave qui était reliée à la cuisine et remontai avec un pack de six boîtes de lait que je posai sur le plan de travail. J’en attrapai une, l’ouvris et bus de la même façon qu’Andreas. « Ça ne te dérange pas, comme tu le fais, hein ? » J’avalai une seconde gorgée. « Ah oui, tu vois, il y a un truc que je fais souvent : les courses. Et quand il ne reste plus qu’une brique de lait dans le frigo, je vais au supermarché et tu sais quoi ? Ils ont tout un rayon avec du lait là-bas ! C’est FA-BU-LEUX ! » Je le toisai avec un demi-sourire, jaugeant sa réaction. Tous les deux, nous détestions que l’on ne réponde pas à nos provocations. Heureusement, nous étions souvent l’un comme l’autre bien trop fiers pour laisser le dernier mot à quelqu’un. « Ah, et tant que j’y pense, tu ne voudrais pas que je t’achète du fond de teint la prochaine fois ? Tu as une mine horrible, on dirait un de ces junkies qui dorment dans la rue. Enfin, non, tu attendras bien ton anniversaire. » On s’aimait tellement. Sans broncher, je commençai à réunir les ingrédients nécessaires pour faire des moelleux au chocolat. C’était pathétique, mais dès que j’étais contrarié, je faisais des gâteaux. Mais Andreas n’en aurait pas un seul, évidemment.

Mon comportement ne pouvait être expliqué par qui comte essayant de me déchiffrer. J’avais souvent tendance à être une vrai fripouille et même si face à moi je pouvais souvent avoir quelqu’un qui bronchera le temps que je le ferai ça me fait toujours autant plaisir de prendre la tête et en particuliers à mon très cher frère. Je suis près à tout pour l’embêter dès que j’en ai l’occasion, ce matin encore une fois j’en avais l’occasion lever bien avant lui pour cause que ma dose de la matinée me manquait mon sommeil était devenu troublant et donc le réveille était obligatoire. Dans la cuisine alors que je me donnais un plaisir à tout mettre en œuvre pour embêter mon frère je le vis descendre les marches, je le regardai tout en souriant légèrement lorsqu’il me remercia de l’avoir réveiller tout en douceur. «C’est tout à fait normale, tu es mon frère et entre frère les choses comme ça se font quoi que j’ai longuement hésité à te réveiller avec un seau d’eau, mais j’aurai dut me déplacer et j’en avais pas spécialement une grande envie ! » Tout ce que je pouvais dire n’avais pas fortement de sens, mais je me comprenais très bien, je venais de déposer la brique de lait dans la poubelle sous le regard de mon frère qui avait pris le soin de chercher du lait, je baissa un instant le regard puis le regarda faire avec un grand sourire, il me suggérait du fond de teint vu la mine que je pouvait avoir, il me bernait et cela ne me faisais pas spécialement rire, mais comme toujours notre conversation allait devenir un match de ping pong et tout les deux voudrions avoir le dernier mot. «Qu’elle gentillesse de ta part de pensé déjà à mon anniversaire, du fond de teint , j’y avait même pas pensé ! » Au fond de moi mon cœur battait à cent à l’heure, il faisait allusion à la mauvaise mine que j’avais et il pouvait très bien remonter au fait que je me drogue, une chose à éviter ! Je le vis alors réunir des ingrédients, je leva les yeux aux ciels tout en disant «Personne ne t’a jamais dit que faire des gâteaux c’est genre plutôt pour les bonne femme au foyer, enfin moi je dis ça je dis rien, mais ce n'est pas comme ça que tu vas attirer des filles ! »

Je m'installa sur une des chaises face au buffet en profitant pour attraper un paquet de BN en route, et dégusta mes distributeur de sourire tout en le regardant faire avec attention et dire que si maman n'était pas là ou elle est en ce moment ça serait elle qui ferait des gâteau en ce moment et voir Valentijn faire me donnait l'impression qu'il voulait comme prendre ça place, certes je ne l'avais jamais connu, mais la vie veux que les maman fassent les gâteaux.. Je passa une main dans mes cheveux désordonnés puis me leva de mon tabouret et lança un regard noir à Valentijn.«Je ne sais pas pourquoi tu t'acharne à remplacer maman, tu fais des gâteaux et ça serait à elle d'en faire ! »

La joie d’avoir des frères et sœurs. Ça avait ses hauts et ses bas, comme dans toutes relations. Bon, en l’occurrence, avec Andreas, c’était plus souvent catastrophique que parsemé de bel amour fraternel. Je me contentai d’écouter mon cadet d’une oreille, comme j’en avais l’habitude, évidemment. On ne pouvait pas me reprocher de ne pas être attentif aux insultes et autres commentaires sarcastiques qu’il me servait à longueur de journées. Il m’expliqua qu’il avait failli me réveiller avec un seau d’eau. Je pensai, sans lui dire, qu’il n’aurait plus eu la tête sur ses épaules en ce moment même s’il avait osé. Un petit sourire se dessina sur mes lèvres à cette unique image. Détester mon frère était décidément un de mes loisirs favoris. Tandis que je rapportai du lait de la cave, je le vis avec son immense sourire et, dores et déjà, je sentis qu’aucun de nous deux n’allait vouloir lâcher l’os tant qu’il y aurait de la viande dessus. Je notai dans un coin de mon cerveau de vraiment lui acheter du fond de teint pour son anniversaire. De toute façon, ça changerait des trucs inutiles que je choisissais au hasard dans les rayons pourris du supermarché. Il me semble que l’année précédente je lui avais pris une sirène et une licorne Playmobil. Je sais, je sais, j’ai toujours fait preuve d’une trop grande générosité à son égard. N’empêche, je trouvais qu’Andreas était fort pâle ces derniers temps. On aurait juré qu’un zombie se baladait dans la maison. A croire qu’il ne dormait plus ou qu’il était malade. Je le traînerais de force chez le médecin lorsque j’en aurais le courage. Ce n’était pas gentil pour lui, c’était juste qu’il n’était pas question que je le laisse contaminer le reste de la famille.

« Et un anticerne aussi. Et une lotion pour tes boutons. Finalement, je ferais mieux de t’acheter un masque, ça sera beaucoup plus simple. » J’avais doucement commencé à sortir des œufs du frigo et de la farine et du sucre du placard quand il me fit une remarque censée me déplaire. « Ah. Et je suis quoi pour toi ? Un macho qui boit de la bière devant la télé ? Je te signale que c’est moi qui te fais à bouffer, qui lave les loques qui te servent de vêtements et qui les repasse aussi. Et le ménage, la vaisselle, et compagnie. Donc, je peux bien faire des gâteaux, je ne suis pas à ça près. » Mon frère avait une vision stupide des choses. Il s’imaginait encore que l’on vivait dans l’ancien temps ou quoi ? Les filles ne rêvaient plus d’un sale type leur donnant des ordres, plutôt de quelqu’un qui était capable de faire quelque chose de ses dix doigts et de partager les tâches. Je plaignais la pauvre qui accepterait d’épouser Andreas. Je fis fondre le chocolat et préparai la pâte dans un faitout tout en soutenant le regard glacial que me jetai mon frère chéri. Remplacer Maman ? Ça y est, il s’y remettait. C’est qu’il s’acharnait sur cette idée. « Tu ne l’as même pas connue. Maman était une femme moderne. Elle n’arrivait même pas à faire ma purée de bébé, ça a toujours été Papa qui cuisinait, même quand elle était là. En tout cas, elle serait trop fière de voir comment son fils considère les femmes. C’est beau. »