Une rencontre qui aurait pu s'éviter [ R. Andreas]

Je marchais entre les rayons de la librairie. Je pouvais distinguer cette odeur de vieux livres que j'aimais tant, et à coté, cette odeur de nouveaux livres. Chaque matin je sentais ce parfum, ce doux mélange, et pourtant cela me faisait le même effet à chaque fois. J'étais une passionée de livre, et ce depuis que je sais lire. Toujours dans mon coin à travailler, mais en réalité la moitier du temps je m'emportais dans un monde nouveau, mon monde à moi, c'est-à-dire à lire tel ou tel livre emprunté à la bibliothèque. J'y passais tout mon temps libre ou presque, c'est ce qui me faisait avancer. Et même après la mort de Kristen, je n'avais pas perdu le gout de lire, c'est bien ça qui me rendait heureuse et qui me faisait tout oublier. Mais je n'étais plus une étudiante, j'avais une vie, un travail et un loyer à payer. J'étais seule, je n'avais plus papa et maman pour m'aider, j'étais libre. Et cela faisait un bien fou, loin d'eux, loin de tout. Un livre tomba. Je le ramassais, regardant le titre. Les hauts de Hurlevant. Un livre magnifique, que j'ai du lire au moins une bonne dizaine de fois. Je m'amusais à tous les ranger, les classer par grandeur ou ordre alphabetique. Il n'y avait pas enormement de monde qui passait ici, et encore moins ceux qui achetait. C'est bien pour ça qu'on est que deux. Mon patron et moi. C'est un homme agé qui a fait ça toute sa vie, et qui me raconte ses souvenirs quand il n'y a pas de client. Il a vécu, j'ai comme l'impression que c'est mon grand-père, qu'il raconte tout à sa petite fille. J'entend la cloche de la porte d'entrée, ce qui signifit que quelqu'un vient d'entrer dans la librairie. je me dirige vers la caisse, mon patron partit au pays des rêves à l'étage en haut. Je restais souvent mes soirées ici, à lire les livres que je ne connais pas. C'est comme un deuxième chez moi. Bonsoir puis-je vous aider ? Dis-je avec un grand sourire. C'était une jeune femme blanche avec des taches de rousseur, des lunettes noires et une queue de cheval. Elle me dit non d'un signe de la tête et se dirigea automatiquement vers le rayon des romans. Je m'assis sur la vielle chaise en bois, attendant patiement qu'elle resorte, un livre à la main prête à payer. Quelques minutes plus tard, elle resortit, sans un livre. Elle dit aurevoir et quitta la librairie. Je cogna le bureau avec mon poing, prenant la clef pour fermer la porte d'entrer. Il était tard et plus personne risque de venir. Je pris mon gilet et mon paquet de Malboro et sortit par la porte de derrière. Dehors il faisait noir, juste une petite lampe eclairait la ruelle. Je cognais dans le mur avec rage. Ah, je ne suis pas le seul à jouer à cache-cache ... Je sursautais. J'apperçu alors un jeune homme brun. qui n'était que Andreas celle ci soupira quand elle reconnue. Andreas que veux tu ? j'ai pas vraiment envie de te voir n'i même de te parler. Dis-je en baissant la tête pour prendre une cigarette. Ce dernier fûmait aussi, je me sentais moins seule d'un coup. Je ne dis rien, Je le regardais, il fit de même.

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La vie nous réserve bien souvent des surprise, la plupart du temps on ne s’attend pas à ce qu’ils nous arrivent et juste après on se demande pourquoi c’est arriver, et pourquoi à nous ? C’est comme le malheur ça n’arrive jamais aux autres, mais uniquement à nous même, bien sûr tout le monde pense pareille donc en conclusion bah ça arrive à tout le monde ! Dans la vie on fait souvent de nombreuses erreurs qu’on regrette ensuite, ah le regret c’est une chose que je connais trop bien, à un tel point que je pourrai très bien tenir un livre de mémoire sur tout mes regrets, le premier serai le fait que j’ai vu le jour en y laissant la vie de ma mère. Oui c’est bien mon premier regret et celui que j’aurai à jamais. La liste est encore bien longue et croyez-moi si je commence maintenant à vous citer chaque regret nous serons encore la dans dix ans.

Ce matin je m’étai une nouvelle levé dans ce débarra me servant de chambre, j’avais passé une sale nuit à me remémorer tout ce que j’avais put faire dans le passé et j’en étais pas spécialement très fière. Le souvenir qui me venu le premier à l’esprit fut ce soir ou j’avais abandonné mon ex petite copine au milieu de nulle part alors qu’elle me reprochait le fait de ne pas lui dire que je l’aime. Un acte complètement lâche et surtout méchant, la pauvre quand même quand j’y pense, mais pour moi il était impossible de parler d’amour ou de sentiment, j’étais bien avec elle et nos partie de jambes en l’air était tout simplement merveilleuse ! Bizarrement peu de temps après je m’étais demander si je ne l’aimais pas vraiment, enfin si j’étais amoureux d’elle ou non et je ne pouvais répondre à cette question, je savais juste que si je ne pouvais dire non c’est qu’il y avait un soupçon de sentiments pour elle. J’y avais pensé durant toute la journée, ça me hantais tellement, puis je réalisai pourquoi aujourd’hui précisément ça me travaillait, ça aurai dut faire un an aujourd’hui …

D’un pas pressé je marchais dans les rues sombre d’Amsterdam, j’avais ce besoin de la voir, de voir ces beau yeux et ça belle chevelure, étais-je amoureux ? Surement, mais je ne pouvais me e faire dire, je passai alors devant cette librairie ou elle aimait tant travaillé, et je la vis à travers la vitre, je fis un lêger sourire puis comme j’en avais l’habitude je fis le tour afin de me retrouver dans la petite ruelle de derrière ou j’avais l’habitude de l’attendre après son boulot, je me trouvais adosser contre le mur à côté de la porte, cigarette en main la fumé se baladant à travers mon corps dégageant une odeur de cigarette et d’un autre truc permettant à ma conscience de se sentir mieux, j’avais l’impression que le temps ne passais pas, du moins jusqu’à que je la vis sortir et s’allumer une cigarette je pris alors la parole tout en me doutant qu’elle ne serai pas spécialement heureuse de me voir ici. « Ah, je ne suis pas le seul à jouer à cache-cache … » J’entendis alors son soupir qui voulais tout dire, puis elle me fis savoir qu’elle n’avais aucune envie de me voir ou même de me parler et cela me fis assez mal à l’intérieur je dois avouer, mais à l’extérieur ce fut comme si elle ne m’avais rien dit de mal. Je fis alors un sourire un peu forcé tout en lui répondant avec un ton plutôt enjouer. «Je voie que t’a retrouvée ton chemin, mais que t’a perdu ta bonne humeur ! » C’était mal venu comme parole et je faisais comme si de rien était, comme si elle ne m’avait pas dit qu’elle ne voulait pas me voir, c’étais entré par une oreille et sorti par l’autre. Je l’observais de mes yeux, tout en fumant ma cigarette ou plutôt mon joint habituel, elle n’avait pas du tout changé, elle était toujours aussi jolie.

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Alors que je venait a peine de sortir de la librairie j’entendis une voix qui me fis soupirait c’était Andreas décidément il pouvait pas allez voir ailleurs, ce n’était pas vraiment le moment car je n’avais pas oublié la fois ou il m’avais abandonner oui abandonner au beau milieu de nulle part, ce jour la j’ai vraiment eu la peur de ma vie, on ne sait jamais sur qui on va tomber, peut être malade mental qui tue c’est victime, enfin bon pour moi sa ne c’était pas du tout passé comme ça, c’était un charmant jeune homme qui m’avait trouvait au bord de la route entrain de marchait alors qu’il c’était mis a pleuvoir des cordes, on aurais dis que je ressemblais a un chien mouillé, il m’avait alors proposé de me raccompagné et j’avait accepter j’avait pas d’autre choix si je voulait pas attraper une pneumonie.
Je marchais toujours alors que Andreas lui me suivait comme un vulgaire petit chien, ce que je ne comprenais pas c’est qu’es qu’il foutait ici a m’entendre dans la petite ruelle que j’empreinte a chaque fois que je quitter le boulot j’aimais passer par ce chemin, c’était plus tranquille enfin je le pensais et devant la boutique ou traîne des gens parfois assez louche mais bon aujourd’hui j’avais un garde du corps ce dis t-elle avait un léger sourire. puis je m’arrêta je me tourna alors vers lui et le regard droit dans les yeux, je l’ écoutais alors faire c’est petit sarcasme qui me faisait bien rire, en même temps je bouillais a l’intérieur de moi-même comme pouvais t-il rire de tout ça, avait-il pas de cœur ? Je ne pense pas. Une fois qu’il eu finis de parlez je répondis au tac au tac. « Oui effectivement j’ai réussi a trouvé mon chemin grâce a un charmant jeune homme, et pour ce qui est de l’humour je les perdu le jour ou tu ma laissé seule au beau milieu de nulle pars ». Lui dis je sur un ton assez sarcastique. Je voyais qu’il me regardait avec insistance ce qui me gênais un peut alors je continua à parler « Arrête de me regarder comme ça, quoi j’ai quelque chose qui cloche ? Et qu’es que tu fou la ? Sa ta pas suffitt de me faire ce coup la l’autre jour, tu es encore venu me jouer un de tés mauvais tour ? Désolé mais j’ai pas le temps pour tés sarcasme aujourd’hui ». Dis-je tout en continuant mon chemin.